L.E ^D^N ^ft^ MONDIAL DU BOLCHEVISME par M. Ie pasteur F. Dürrlemart 'JSIplEjpE PUBLICATIONS POUR LA JEUNESSE No. 58 LE DANGER MONDIAL DU BOLCHEVISME par M. Ie pasteur F. Dürrleman SÉRIE DE PUBLICATIONS POUR LA JEUNESSE No. 58 „GELOOF EN VRIJHEID" 1e PIJNACKERSTRAAT 102-106 - ROTTERDAM Mesdames, Messieurs, J'attaque ici ceux qui ne croient pas au danger mondial du bolchévisme. Danger mondial? Non, disent-ils, mais russe. Le bolchévisme est d'origine russe, de caractère russe, il restera russe. Le bolchévisme ne regarde que les Russes. Vous, les autres peuples, cela ne vous regarde pas. Charbonnier est maitre chez soi, le Russe chez lui. Vous, occupez-vous de ce qui vous regarde. Le bolchévisme n'est pas article d'exportation. Quelle erreur! quelle ignorance! Regardez donc 1'emblème des „Pionniers de Lénine", organisés dans presque tous les pays, parmi les enfants de 6 a 14 ans: un enfant enf uniforme de soldat soviétique brandissant un drapeau rouge, au centre duquel se lit en grands caractères: ,,Vive le mouvement mondial des Sans-Dieu", le mot mondial se détachant énorme, superbe, provocateur. Dans tout 1'univers, voyez donc cette propagande incessante des principes par les ambassades, les légations, les consulats, les agences commerciales. A Moscou, écoutez les lecons données aux futurs propagandistes bolchévistes, asiatiques, africains. australiens, américains du sud. Au Japon, visitez la „Centrale Asiatique", qui, sous la direction des délégués de 1'U.R.S.S., agit sur tous les Etats baignés par 1'Océan Pacifique, 1'Indochine, les Indes, la Chine, la Corée, Formose, les Philippines, les Etats-Unis. En Afrique, entendez les diverses langues du continent noir, utilisées pour enseigner aux indigènes la révolte contre la religion et contre lUurope. Cela ne nous regarde pas, dites vous. Laissez a la Russie ce qui est russe. Et moi, je lis dans 1'organe de Gorki: „La lutte commencée il y a 15 ans par 1'Internationale communiste pour la dictature mondiale du Komintern, pour le pouvoir soviétique dans le monde entier s'enflamme avec une nouvelle force." (1) Et je conclus: le bolchévisme n'est pas un mouvement national, mais mondial. J'attaque ici ceux qui ne croient pas au danger actuel du bolchévisme. Danger actuel? Non, disent-ils. Danger hier, oui, dans 1'effervescence de la révolution naissante, dans la fièvre folie des premiers jours. Maintenant, non. Le bolchévisme a grandi, il a jeté sa gourme, il s'est assagi, il a fait ses expériences, il a évolué. Quelle erreur! Quelle ignorance! Pour s'en tenir au domaine qui est le mien, celui de la morale et de la religion, vous ne savez donc pas que bolchévisme et anti-religion sont absolument liés, sans séparation possible, qu'il est de 1'essence même du bolchévisme d'être anti-religieux, que sa lutte contre Dieu n'est pas affaire de circonstances, d'opportunisme, plus ou moins adroit, mais de doctrine, de principe. Vous dites que, pour sinistres qu'ils soient, les chiffres atroces des martyrs pour la foi par la main criminelle des bolchévistes sont de vieux chiffres que 1'on ne reverra plus. Mais d'oü tirez-vous eet horoscope? Les preuves abondent que vous voyez faux. Ils ne parient pas comme vous les tyrans sanglants de Moscou: (1) Maxime Gorki: Au-dela des frontières. Za Roubejom du 3 mars 1935. Staline: „Le parti ne peut être neutre relativement a la religion, aux porte-paroles des préjugés religieux, au clergé réactionnaire qui empoisonne la conscience des masses travailleuses." (juin 1935) (2) Cheimann: „Lutte implacable contre la religion, encore plus d'inplacabilité envers la religion". (Aoüt 1935) (3) Lounatcharsky: „La lutte contre la religion doit être fortement intensifiée pendant le second plan quinquennal." (1933) (4) Yaroslawsky: „Ne pas affaibür, mais renforcer le travail anti-religieux". (mars 1934) (5) „II est impossible de créer une vie nouvelle sans avoir déraciné au préalable de 1'esprit humain tout idéologie religieuse." (mai 1934). (6) J'attaque ici ceux qui ne croient pas au danger du bolchévisme sous prétexte qu'il n'a pas le nombre. Danger? Non, disent-ils, les bolchevistes ne sont qu'une minorité, minorité turbulente, criarde, cruelle, crédule, mais minorité insignifiante. Aujourd'hui, il faut avoir le nombre pour réussir. Leur faiblesse numérique les voue a 1'insuccès. Quelle erreur! quelle ignorance! La loi du nombre ne joue qu'en partie dans le domaine des réalités humaines. Voyons: le bolchévisme russe n'en est il pas la peuve contraignante? Combien étaient-ils qui se sont emparés du pouvoir, ont fait la révolution? Une poignée de fanatiques, deux pour cent, (2) Staline, Pravda: 21 juin 1935. (3) Cheinmann, Le Sans-Dieu: aoüt 1935. (4) Lounatcharsky: Nouveau manuel anti-religieux p. 342. Moscou 1933. (5) Le Sans Dieu: Yaroslawsky: 10 mars 1934. (6) h „ „ 17 mai 1934. dit-on, de la population. En Russie, 1'audace et la terreur ont vaincu le nombre. Ailleurs, il en ira de même, si 1'on ne se garde! Ce ne sont pas les majorités qui font les révolutions, mais les minorités conscientes, ardentes, et sans scrupule. Le reste est moutons de Panurge! J'attaque ici ceux qui flirtent avec le bolchévisme, s'en amusent comme d'une curiosité, allant disant qu'il vaut la peine après tout d'en tenter un essai moins local, moins spécial que celui de Russie. J'attaque ici et je dénohce tous ces dandys de salons, tous ces snobs intellectuels, experts en conciliation des contraires, pauvres fous, qui se croient sages, et jouent avec le feu qui va les dévorer. J'attaque ici ces mauvais bergers, clercs ou laïcs, borgnes ou aveugles, qui conduisent d'autres borgnes ou aveugles et qui tomberont tous ensemble dans la fosse. Bourgeois et aristocrates de pacotille qui se drapent dans les plis sanglants du drapeau rouge pour capter la faveur du peuple a qui, par cette mascarade impie, ils masquent 1'abattoir horrible, lui disant qu'ils le mènent a un nouveau paradis! Quelle erreur! quelle criminelle ignorance! Ils ne savent donc rien du triple attentat bolchéviste: — Attentat contre la personne humaine, qui n'est pas regardée comme une fin, mais traitée comme un moyen, particule minuscule d'une des innombrables dents de la roue géante de 1'Etat totalitaire. Plus de propriété privée — il n'en est que de collective —, plus de liberté de la pensée — „nous en sommes, disent-ils, les adversaires; répudions le terme bourgeois de libre - penseur qui a fait son temps". (7) Or, sans propriété, pas de personnalité, sans pensée (7) La lutte anti-religieuse et prolétarienne (février 1932). libre, pas de dignité. Ce qui reste de 1'homme est alors la chose du Guépéou qui „peut, sans jugement, en vertu de régies et d'instructions secrètes, ignorées de tous, arrêter, exiler, exécuter, sans être tenu même de publier le nom de ses victimes", régies qui, au dire du secrétaire général de 1'Institut International de Droit public, „constitue un attentat monstrueux a la Déclaration des droits de 1'homme." (8) — Attentat contre la familie, — qu'il faut „réduire dans 1'espace a la mère et a 1'enfant, dans le temps a la période de 1'allaitement," selon le mot du collectiviste francais Jules Guesde, — qu' „il faut détruire, dit Lénine, pour détruire le sentiment de la propriété privée qui en dérive", — „le ménage privé, dit un autre, étant d'ailleurs un fléau qui déforme 1'existence des adultes et des enfants." (8b) — Attentat contre la religion et la morale. Fait tout nouveau dans 1'histoire humaine: une croisade contre la religion, contre le sentiment religieux, est organisé systématiquement sur le plan international et s'appuye sur la puissante organisation d'un des Etats les plus considérables de la planète, soumise entièrement au controle bolchéviste. Le Komintern, en effet, exige de tous les adhérents a la Illme Internationale, sans exception, donc de tout communiste, une action anti-religieuse militante. Les chefs du bolchévisme ne s'en cachent point: tous ils veulent la disparition de la religion. Pour que le communisme progresse, il faut diminuer le nombre des croyants. Lénine: „La lutte contre la religion est 1'A.B.C. du Marxisme. „Yaroslawsky: „Religion et (8) Mirkine-Guetzevitch. Cahiers des Droits de LTiomme (20 février 1930). (8b.) Sabsovitch: „L'U.R.S.S. dans 10 ans". Bureaux d'éditions Paris 1930. Communisme sont des ennemis et des ennemis irréconciliables.... La oü la religion triomphe, le Communisme est paralysé. La vie communiste n'est possible que la oü le peuple est libéré de la religion.... Nous ne combattons pas seulement des préjugés religieux, mais toute religion." (9) Un autre: „Toutes les religions, tous les dieux sont un même poison enivrant qui endort 1'esprit, la volonté, la conscience: une guerre implacable doit leur être faite a tous." Et le programme du Komintern lui-même déclare expressément: „Parmi les objectifs de la révolution culturelle intéressant les grandes masses, la lutte contre la religion, eet opium des peuples, tient une place spéciale; cette lutte doit être poursuivie inflexiblement et systématiquement." Et elle 1'a été, MM., dès le début de la révolution bolchéviste avec une violence et une sauvagerie telles, que, d'après les sources officielles soviétiques. ellesmêmes, rien qu'entre 1917 et 1922, 28 évêques ou archevêques, 8.100 membres du clergé ont été mis a mort et combien de centaines de milliers de fidèles! Et elle est encore menée avec une telle vigueur, — non seulement en Russie, (oü il ne subsiste vraisembla' blement pas plus de 1.200 prêtres sur 44.000 et pas même 20 pasteurs protestants sur les 300 qu'elle comptait,) mais a travers le monde entier, — que les SansDieu publient aujourd'hui en dehors de 1'U.R.S.S. trente deux journaux en quatorze langues différentes. Et non sans succes, puisqu'une personnalité autorisée déclarait récemment que „1'action entreprise par Moscou contre les Missions en Asie et en Afrique risque, si 1'on n'y prend pas garde, de ruiner 1'effort séculaire de 1'Europe pour la christianisation des peuples de 1'Orient." (10) (9) Yaroslawsky: passim. (10) Pro Deo. Lutte inflexible et implacable, mais non sans souplesse, habile au contraire a se travestir, a s'insinuer. Le supplice n'est pas son arme unique. Ellé vainc aussi par la perfidie et 1'hypocrisie. Le bolchévisme vient de recommander officiellement aux Sans-Dieu de pénétrer en se camouflant dans les organisations religieuses, „•atholiques et protestantes, et spécialement dans les groupes de jeunesse, pour y faire un travail de décomposition et de sape. Et c'est probablement a cette manoeuvre que nous devons aujourd*hui d'entendre tant de jeunes déclarer que, d'un point de vue supérieur, la lutte anti-religieuse du bolchévisme n'est après tout pas si injustifiée que cela, quelle vise les déformations de la religion, les maladies _du sentiment religieux, les corruptions du Christianisme, mais non la religion elle-même et le Christianisme en sa pureté, 1'attitude des bolchévistes s'expliquant par les navrantes caricatures de la religion qu'ils ont eues le plus souvent sous les yeux. Quelle erreur! quelle ignorance! Certes, la corruption de ce qu'il y a de meilleur est ce qu'il y a de pire, et le Christianisme déformé, s'il ne se sauve par la Réforme, arme lui-même les bras de ses persécuteurs. Mais 1'anti-religion communiste n'est pas animée d'une volonté de réformation; c'est un implacable vouloir de destruction, de dissolution qui 1'entraine, et ce n'est pas a telle forme originale ou déformée de la religion qu'elle en a, mais a la religion •Ue-même et au sentiment qui la crée. A tel point que c'est aux manifestations les plus hautes de la tradition et de la vie religieuses qu'elle a juré de livrer le plus intraitable combat. Ceux qui en jugent autrement n'ont pas saisi le vrai sens de 1'athéisme militant du bolchévisme. Ils n'ont donc jamais lu Lénine écrivant a Gorky: „la lutte con- tre toutes sortes de religions raffinées est plus nécessaire que la lutte contre la religion sous sa forme grossière. Les ouvriers d'Amérique, de la Suisse, sont abrutis par 1'idée d'un petit bonhomme de Dieu trés propre et spirituel, vilenie la plus dangereuse et la plus ignoble. Un prêtre débauché est beaucoup moins dangereux pour la vraie démocratie prolétarienne qu'un prêtre sans soutane qui prêche un nouveau Dieu raffiné." (11) Et Lounatcharsky insiste: „Nous haïssons les chrétiens. H faut considérer les meilleurs d'entre eux comme nos pires ennemis. Ils prêchent 1'amour et la miséricorde envers le prochain. Nous voulons avoir de la haine! II faut que nous enseignions la haine, car ce n'est qu'a ce prix que nous pourrons conquérir le monde." (12) Ils n'ont donc jamais entendu le même Lounatcharsky s'écrier: „II faut déclarer une guerre a outrance a toute religion. Notre devoir est de détruire toute religion et toute morale." (13) Et celui qui parle ainsi est le Commissaire de 1'U.R.S.S. pour 1'éducationü Ils n'ont donc jamais lu Lénine écrivant sans vergogne dans sa „Politique d'Etat": „Dans la sainte lutte pour la révolution sociale, les mensonges, les impostures et la trahison envers la bourgeoisie, les capitalistes et leur gouvernement sont tout-a-fait permis. N'est moral que ce qui aide a la révolution: tout n'est qu'absurdités bourgeoises en dehors de cela." (14) Ah! Mmes, MM., j'en ai dit assez, n'est-il pas vrai? pour légitimer mon attaque contre ceux qui ne croient (11) Lénine: Lettre a Maxime Gorky. (12) Lounatcharsky: passim. (13) (14) Lénine: Politique d'Etat. pas au danger mondial du bolchévisme. Ceux-la, MM., sont le grand danger. Le bolchévisme n'est aujourd'hui un grand danger mondial qu'a cause d'eux. Le bolchévisme est trop contraire aux lois éternelles du monde économique et du monde moral pour avoir chance de triompher, s'il n'y avait pas 1'invraisemblable ignorance, la stupéfiante sottise de snobs, 1'inertie et la veulerie de tant d'honnêtes gens, de tant d'étranges chrétiens qui, dans tous nos pays, frayent le chemin, par une incroyable inconscience, a la pire des révolutions, qui ne font aucun effort vraiment sérieux pour éclairer les peuples sur les erreurs fondamentales du Marxisme et sur le danger de son application pratique, le Communisme, qui laissent le monopole de 1'instruction sociale des masses aux pionniers de la révolution barbare, et qui, a la vague montante d'un paganisme cent fois plus païen, cent fois plus redoutable que celui de 1'antiquité ou de 1'Afrique contemporaine, au lieu d'organiser le plus vigoureux, le plus intelligent, le plus ardent des apostolats, n'opposent que leur sourire complaisant et complice. CEuvre Francaise de „GELOOF ÉN VRIJHEID? Publications pour Ia jeunesse: No* L—Dfc_r,~J. KROP: ..Pourquoi une bibliothèque iraacaise a r „Geloof en Vrijheide" 3me éd. No. 2., móme:~,,L'influeace de f'étude dn francais sur la iormation - rde 1 esprit et de Ia personnalité". 4me éd. Np^ > ROBERT_. OE^FpjCE, 'Atomi a la Cour d'Appel, t « Quelques pensees d'un jeune pour les jeunes. 2me éd-' ,No. t»^.^^# JERÓI5 Hommage a la Societé de 1'histoire dn protestantisme francais. 2me éd. -No. ^S. LOUIS COMIE: Fant-il que jeunesse se passé? No. 6- E. POUR^SY: La vie morale et Ie respect de la femme. ;Jt&&f< >B»VE;'i»UlVIEReUÉtr;^'p«iadoSe de rAutorité '. 2me éd. No. .8. Dr, F. J. KROP: 'A 1 occasion stof. Cinquantenaire de 4a _. Faculté de théologie de Paris. 2me éd. No- 9. J«i, LXÖLLMANN: „A Daudei, Conteta;" 2me éd. tS^Hfc-M. P. BARNAUD: „L'Oïuvre civilisatrice d'un grand Francais: Francois Coillard en Afrique". 2me éd. _ RpV'l|. FRANCOIS DË tPIÏT—GUIZOT: „Bolchévisme, Religion ^2 -^E©olé*% 2me éd. ^> _ ^ No. i2. Paroles d'amis. Nóv4ï. - Amitie, amour. l«c - -No. 14. "rPatrïe, hnmanité, travail, No. 15. Eniants et Paren ts. ^3^*: < No. 16' Les humbles. No. 17. A un jeune homme. 'No. 18. Amoureus. NO. lf. r^"ï|èji>l^ê 4tance". No. 21. Dr. F. J. KROP: La caractère paciiique da patriotisme francais sous La froisième répnblique 2me éd. ^NÖt 22- li J. ROUSSEAU: A Un Incrédule, No. 23. MADAME DE STAËL: République et religion. No. 24. BENJAMIN CONSTANT: Contre Faxioine: II iaut une reli - gion pour^Je péuple..^ \f' No. 25. .E. DOUMÈRGOW^&scription fe Louvain. ^ No. 26. E. DOUMERGUEfLï femme doit-elle obéissance a son mari? MUg2& J,-DE VIETINGHOFF: La iemme. Jfer 28; Dr. F. J. Krop: HetFrantche werk van „Geloof en Vrijheid" ' N6. 28. H. DE JOUVENEL: Les responsabilités de la grande guerre. -No. 39. Lettres de M. M. GEO-BON6T-MsVÜRY JtOCHEBLAVE ^f^k; Pasteur F; J. KROP. No. 31. S. ROCHEBLAVE et J. VIÈNOT: Les Hens franco-hollandais. No. 32. Prol. J. VIÊNOT: A Conrt (5me mille). ! No. 33. Dr.JF. J. KROP: Ce que je viens chercher en France. 2me éd ''NS. 34. A. KAMMERER: Visite a Rotterdam. No. 35. M. TH. AUBERT: Proteslation contre les persécutions religieuses en Russie. Nd. 36. Dr._'G. LODYGENSKYj Une phase nouvelle de la lutte dtj soviets contre la Religion. HNó'^7. A. VtKARTACHOV: Discours. No. 38. 'S. ROCHEBLAVE- Un siècle de colonisation francaise. No. 39. S. ROCHEBLAVE: Alger hier el aujourd'hni. No. 40. S. ROCHEBLAVE: La conqnète morale. de I'Algérie. No. 41. S. ROCHEBLAVE: Sur le rocher de Constantine. No. 42. S. ROCHEBLAV3Ï: •«Le»,»me»',d'W'V No. .43. S. ROCHEBLAVE: Un heros' de 1'épopée huguenote. Agrippa ï§ d'Aubigné. No. 44. J. DOUILLET et Dr. F. J. KROP: La réallté en Russie Soviétiqne. No. 45. Dr. F. J. KROP: Quelques Remarques sur le Caractère Francais. 2me édit. * No. 46. Dr. F. J. KROP e.a.: Dixtcme anniversatre de 1'Oenvre fran- 'v^icafiV' de Y,Geloqf- eB-"VrfJheWV3me édlV^T- No. 48. : Le - Probleme International/ - No. 49. Véga Douce France. ï No. 50. H. TAINEi L'esnrit Gaulois. No, 51. Dr. F, j. KROP: Quelques écueils a évttëf. / No. 52. Discours du Ministre de France a „Geloofden Vrijheid". No. 53. Allocntion dc M. le prol. S. ROCHEBLAVE. No. 54. A Ia cathédrale de Rotterdam. Discours de M.M. T. DÜRRLE- MAN et f£t. KROP le 15 Octobre 1933., No. 55. Dr. F. J. KROP: Le tort que I'action des Sans-Dieu cause a Ia France. No. .56. "MAX'VIDO: Quelques remarques sur Athalie. ^. ' 'Np.'57.^ M7~DE,.NEEVEl^b\ vqyage d'études av traversé'AlsaceToutes les brochures sont mises gracieusemen^ a Ja disposition de toute personne qui en lera la demande au siège de 1'ceuvre francaise dè „GELOOF EN VRIJHEID", le Pijnackerstraat 102—106. Rotterdam