mais Tous devez reconnaitre aussi, que ce n’est que par les miracles que l’Bglise elle-même a été formée et assurée de la promesse infaillible que rautorité de sou Chef et de sou Epoux resideroit toujours dans elle. Mais l’Eglise n’est pas toujours en état de l’exercer, cette autorité, quoique toujours residant en elle. II est des temps oü des propres ennemis s’en trouvent comme en possession, [abusant ?] contre ses propres *) et contra ses propres interests, et la tiennent indignement (. .. . et comme captive dans leurs propres injustices.

Nous appellons depuis longtemps cette autorité h. nótre secours, en appellant au Ooncile. La foy de l’Eglise redemande, comme avec de grands cris, sou esprit, Ie desire avec ardeur dans tous ses dignes enfans; il (elle?) gemit et sent comme les douleurs de I’enfantement, par ce que l’on lui refuse et qu’on condamne même ses innocens et saints desirs. Que fait J.-C. ? II éclate lui-même; il accorde (S, l’)affligée tout ce qu’elle pouvoit esperer d’un Concile; il faut un miracle, et après ce premier il en fait, comme coup sur coup, trois ou quatre au tres, et tout est decidé.

II ne me reste plus, M., qu’a lui demander pour Yous et pour les vótres un miracle. J’ose dire que vous reconnaissez peu, qui est celuy de sou operation efficace et tout puissante dans vos coeurs, afin que vous ne resistiez plus a sa verité, et que vous cessiez de verifier miserablement en vos propres personnes cette cinquième proposition, que vous osez condamner avec tant d’autres; „Quand Dieu n’amoUit point Ie coeurpar

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