liet cultuur- eu het cousiguutieetehel geschetst te hebben, sprak hij er in de volgende woorden zijn oordeel over uit: „Le système est incompatible avec la civilisation et les progrès sociaux, qui paraissent être dans la destinée de la population de Java, et que le gouvernement na pourrait pas empêcher . si même il n’était pas dans les devoirs de la nation hollandaise de les favoriser. J’ai la persuasion intime que. pour ne pas rious rendre coupables d’une grande injustice, nous sommes obligés , comme tuteurs du peuple que nous dominons, de lui procurer de I’instruction et des lumières autant que comporte son caractère de moeurs orientales. C’est a rindépendance individuelle, et non pas a un servage abrutissant, que doit tendre le système de uotre gouvernement. J’ai I’avantage de partager cette opinion avec un tres grand nombre de mes cempatriotes Nous considérons ce système de culture comme transitoire, et la transition doit avoir lieu pas la libre disposition pour l’indigène de ses forces et des fruits de sou travail. Plus on avancera dans cette voie et plus on obtiendra d’avantages de la possession de Java. Les vlees inhérents au monopole commercial se font aussi de plus en plus sentir. Le commerce colossal des produits d’une ile cent fois plus grande que la Hollande, se fait d’une manière si dispendieuse. les profits sont achetés si cher, que la libcrte sans désordre augmenterait immensement les profits pour la nation.”

Na 1850 heeft Ackeedijck slechts zelden de pen opgevat, hetgeen ten deele aan de aanmerkelijke vorderingen onzer natie in staathuishoudkundig inzigt, doch nog meer aan zijne klimmende zucht moet worden

atitiiik v,m deze bladzijden Is in 1861 verschenen bij T. de limjïN. te Utrecht, onder den titel: Mouvement des idéés économiques etc. en Hollande.