LA CLOCHE DU SOIE.
rourquoi doac,*quand j’entends une eloche qni sonne.
Ce brult réveille en moi mille doux souvenirs,
Wourquoi, en écoutant ces aceords monotones,
A mon iime émue , échajipe iin soupir?
C est que je trouve dans leur gravc mélodie ,
I.ugubrc ponr tout ctranger,
Des Sons, qui me rappellent d’une voix ainie,
Des scenes dun bonheur passé.
Enfant, j aimais déja, ce vibrement sonore,
Se perdant, peu-ii-peu dans les brises du soir.
Et quoiqu’ Ie temps ait fui, j-aime ü I’entendre encore
Car il est ponr mon coeur l’image de l’espoir:
Eloignd du Midi, séjour de mon enfance.
Dien de mes plus doux souvenirs ,
Je conserve toujours la douce espérancc ,
D’y retourner et d’y mourir.