car elles sont bonnes peur justifier nótre conduite, et que, si nous n’avions pas fait ce que nous avons été obligez de faire, la maison étoit enfoncée dans une revolte ouverte et perdue irremissiblement. Nous ne nous en attribuons pas la gloire, cognoissant notre indignité et nótre peu de talent, mais a Dien, sans cependant negliger la reconuoissance, que nous vous devons pour tous les bons offices que vous nous avez rendus. Nous ne cesserons de prier pour votre personne, et je feray gloire d’être toute ma vie avec un tres profond respect,

Monseigneur, de V. G.

Ie tres humble, tres soumis et tres obeissant serviteur,

F. Nicolab Jacqüeb Isaac , m’’® des novices.

A Orval, ce 17 Oct. 1725.

P.S. Si V. G. m’honore d’un mot de reponse, de consolation (et d’) instruction, mon adresse est par madame Van Erp, abbesse dn monastere de St Bernard, a, Malines. i 1_

Naar het oorspronkelijke.

Een andere brief van Isaac, van 30 Oct., is zeer lang en bevat weinig wat niet van elders bekend is. Volgt dus het antwoord des prelaats op beide brieven (13 Nov.)

Rev. Domine,

Binas vestras recepi, quarum principalibus partibus libentissime respondeo.

Nihil moror, qnid de me aut de apostolica visitatione dicant refractarii vestri. Pro omni justificatione